Connais tes limitesđŸŒč

Madad ya Sultan al Anbiya

Madad ya Sultan al Awliya, madad ya Rijalullah, ils avaient un proverbe dans l’ancien temps : « Il va chez le barbier, d’un AĂŻd Ă  l’autre », n’aime pas le barbier. Maintenant, les gens sont comme ça, ils sont ignorants, ils n’apprĂ©cient personne.

La Hawla wa la Quwwata illa biLlah al ‘Aly al ‘Azhim

Audhu biLlahi min sh-shaytani rajim

BismillahiarRahmaniarRahimi

Puisse Allah (jj) ne pas nous placer au nombre des malchanceux, qui sont les suiveurs de leur Ă©go. La plupart des gens d’aujourd’hui sont les suiveurs de leur Ă©go. Les gens, spĂ©cialement ceux qui sont Ă©duquĂ©s, sont les suiveurs de leurs Ă©gos. Beaucoup de musulmans sont aussi les suiveurs de leurs Ă©gos. Tout le monde pense qu’il est si haut. Ils pensent qu’ils savent. La parole du ProphĂšte ï·ș : « Rahima Llahu- mra’an, ‘arifa haddahu wa waqafa ‘indahu. »

Puisse Janab al Haqq bĂ©nir celui-lĂ  qui connaĂźt et garde ses limites. »

Il ne va pas trop loin- « C’est ma limite, c’est jusqu’ ici, rien au delĂ . »

Puisse Allah bĂ©nir celui qui connaĂźt sa limite. C’est la priĂšre et la parole du ProphĂšte ï·ș. Rien n’est mieux que de connaĂźtre sa limite. S’il ne connait pas sa limite, il se fait fouetter tout le temps. Qui ne garde pas sa limite, outrepasse sa limite, est digne d’ĂȘtre fouettĂ©. Et de nos jours, peu de gens demeurent qui connaissent leurs limites. Oui. Il y a peu qui connaisse leur limite. Ceux qui ne savent pas sont plus nombreux. Le chaos dans le monde islamique est causĂ© par cela. Les gens parmi les musulmans qui connaissent leur limite se sont  rarĂ©fiĂ©s, quel que soit leur rang.

Les musulmans en particulier sont trompés par ce monde. Ils sont fiers pour des choses mondaines. Avec la fierté que le monde leur donne, ils ne connaissent plus leur limite. Avec la fierté ils ne connaissent plus leurs limites. Ils dépassent les limites.

La question de ce monde est diffĂ©rente. La question de l’au-delĂ  est diffĂ©rente. C’est pourquoi en ce temps, ce que nous pouvons faire et ce que nous essayons d’Ă©tablir, est spĂ©cialement la voie de la tariqah:  « bal TarÄ«qatu kulluhā adabun »

Il est ordonnĂ© -Tariqah est une question de bonnes maniĂšres- Tariqah est la voie des bonnes maniĂšres. En fait Tariqah est bonnes maniĂšres du dĂ©but Ă  la fin. Elle enseigne les bonnes maniĂšres de l’Islam. Selon une expression nouvelle elle entraĂźne les musulmans, parce que les musulmans ont besoin de formation. Ils ont besoin de formation. Ils sont responsables de la mise en pratique de ce qu’ils ont appris. Savoir est une chose, mettre en application ce que tu as appris en est une autre. La tariqah informe les croyants comment se comporter a l’intĂ©rieur de la shari’ah. Pour qu’elle nous fasse savoir ce que sont nos limites, nous enseigne nos limites. La tariqah est toute entiĂšre Ă  propos des bonnes maniĂšres. Si vous n’entrez pas en Tariqah, vous ne pouvez pas pratiquer la shari’ah de l’Islam, parce que la shari’ah de l’Islam vous ordonne d’ĂȘtre connectĂ© Ă  quelqu’un, elle vous ordonne de suivre quelqu’un, suivre sa voie. C’est la shari’ah, suivre qui? Suivre les bons, suivez-les, c’est un ordre: suivez les bons.  Suivez ceux qui ont de bonnes maniĂšres. C’est-Ă -dire, marchez dans leur voie. Y a-t-il autre chose dans l’islam? Est ce qu’il dit de suivre les mauvais ?

Qui est le bon ? Celui qui connaĂźt sa limite. Quiconque ne connaĂźt pas sa limite, n’est pas une bonne personne. Quand nous disons sa limite, premiĂšrement, quelqu’un qui ne connaĂźt pas Allah (jalla jalaluhu) est quelqu’un qui ne connaĂźt pas sa limite. Bien-sĂ»r, quelqu’un qui nĂ©glige les ordres d’Allah. S’il connaissait ses limites, comment pourrait-il nĂ©gliger les ordres d’Allah ? Si je vous dit, hāshā, « pose le Qor’an sur le sol », vois refuseriez de le poser, disant  » c’est lĂ  que je marche. » Les bonnes maniĂšres sont de ne pas le placer plus bas que le ventre. Notre ancienne tradition,  est de garder le Qor’an au niveau du ventre, tu ne peux pas poser le Qor’an Ă  tes pieds. Ce serait oublier les bonnes maniĂšres. Ok! Et si je vous dis de dĂ©placer sous vos pieds ? Hāshā ! Quelqu’un oserait-il ? Un croyant n’oserait pas, serait-ce un incroyant ? D’accord ! Nous respectons le Qor’an de cette maniĂšre. Comment se fait -il que nous placions les ordres d’Allah sous nos pieds ? Mettre les ordres d’Allah sous vos pieds, signifie mettre le Qor’an sous vos pieds.

Pourquoi faisons-nous cela ? Qui ne connaĂźt pas ses limites, piĂ©tine les ordres d’Allah, Jalla jalaluhu. Il n’est pas une bonne personne. Vous ne pouvez pas le suivre, si vous le faites, c’est un dĂ©sastre. C’est un dĂ©sastre pour ceux qui suivent.

C’est pourquoi nous disons que nous devrions connaĂźtre notre histoire. Nous devons connaĂźtre notre histoire. Notre histoire nous montre. L’Histoire nous montre les jours quand nous suivions les bonnes personnes. Et comment nous avons souffert quand nous avons suivi les mauvais. Pas besoin pour nous d’en parler. Ouvre et lis! Si nous suivons ceux qui connaissent leurs limites, nous connaĂźtrons aussi nos limites. La misĂ©ricorde divine nous atteindra  aussi. Quand nous ne connaissons pas nos limites, la misĂ©ricorde divine s’en va. Les problĂšmes arrivent que ces personnes. Comme  nous l’avons dit, les gens de cette Ă©poque, qui suivent les bonnes personnes se sont rarĂ©fiĂ©s. Les gens qui suivent les mauvais sont devenus plus nombreux. C’est pourquoi les problĂšmes,les difficultĂ©s qui descendent ont augmentĂ©s. Il n’y a pas de paix, il n’y a pas de barakat, les portes du bien sont fermĂ©es. Ne peuvent ĂȘtre ouvertes. Les portes du mal sont grandes ouvertes. Tout le monde est immergĂ© dans le mal. Nous parlons de connaĂźtre ses limites. En particulier, vous avez besoin de connaĂźtre vos limites Ă  propos des  Saints AhadĂźth, et Ă  propos d’Islam et du Qur’an.

Qu’est ce qu’ĂȘtre un musulman et qu’est-ce que ça n’est pas ? Comment devraient ĂȘtre les maniĂšres des croyants envers le Qur’an ? Comment devraient ĂȘtre nos maniĂšres envers les Saints AhadĂźth du ProphĂšte ï·ș ? Nous devons apprendre et pratiquer cela. En premier le croyant devrait insister, c’est-Ă -dire insister pour apprendre avant le Qur’an et les AhadĂźth, il doit savoir ce que l’islam a ordonnĂ© et rendu obligatoire. Le Qur’an sont les mots de Allah, Jalla jalaluhu. Les Saints AhadĂźth sont les mots , les paroles sacrĂ©es de notre ProphĂšte, ‘alayhi as salatu wa s- sallam. Ce n’est pas une chose facile et abordable de comprendre les mots  d’Allah et du ProphĂšte ï·ș . Les anciens savants, ils Ă©taient des gens sincĂšres et efficaces. Quand ils lisaient les paroles de Janab al Haqq, ils disaient: » nous ne devrions pas rapporter ces paroles de maniĂšre incorrecte. » Et ils tremblaient de peur en interprĂ©tant sa signification. Ils craignaient Allah et avaient honte devant Lui, Jalla jalaluhu. I

Ils rapportaient les mots de notre Saint ProphĂšte , ‘alayhi as salatu wa s- sallam, et des Sahabi e Kiram en s’appuyant sur les interprĂ©tations des grands Saints. Ils ne lisaient jamais de versets ou de saints AhadĂźth sans avoir leurs ablutions.

Abdul Khalliq ul Ghudjawani hazratleri, a construit un bĂątiment privĂ©, par respect pour le Saint Qur’an. Juste pour lire le Qur’an. Il construisit ce maqam, dĂ©pensant une grande quantitĂ© d’argent pour l’Ă©poque. Il installa un pupitre dans ce bĂątiment et y dĂ©posa le Qur’an. Avant de lire le Qur’an, il prit un bain, il fit les grandes ablutions (ghusl), mit ses nouveaux vĂȘtements, les plus propres, mit un beau parfum, et entra dans cette piĂšce sur la pointe des pieds. Le Qur’an e Karim Ă©tait placĂ© en hauteur. Il entra comme s’il entrait en prĂ©sence du Sultan. Il Ă©tait debout. Il Ă©tait debout, prĂȘt Ă  rĂ©citer le Qur’an. Les paroles d’Allah, Jalla jalaluhu.

Autant vous montrez de respect, autant vous serez respectĂ©s, en prĂ©sence d’Allah, Jalla jalaluhu.

C’est ainsi. C’est la parole d’Allah, Jalla jalaluhu. Le jeu en vaut la chandelle. S’il y a quelqu’un qui peut faire plus, la parole d’Allah vaut plus encore.

J’Ă©tais aller dans une Ă©glise, dans un monastĂšre. Le moine nous avait  invitĂ© au monastĂšre, c’Ă©tait il ya longtemps, il ya 40 ans. Comme il nous montrait le monastĂšre, il sorti ses Bibles. Les couvertures de ces Bibles Ă©taient dĂ©corĂ©es de rubis,  d’Ă©meraudes, de chrysotile et de pierres prĂ©cieuses comme ça. Une telle perfection, une grande, deux, trois, quatre copies. Il sorti quatre copies, elles toutes ornĂ©es de pierres prĂ©cieuses comme ça. Alors je me suis fait des reproches, je me suis blĂąmĂ© moi-mĂȘme. Ils n’Ă©taient pas Musulmans, ils Ă©taient ChrĂ©tiens, ils conservaient leur Livre Saint avec un tel respect. En rĂ©alitĂ© ils ont ruinĂ© leur livre, malgrĂ© tout, ils protĂšgent leur Livre sacrĂ© d’une telle maniĂšre dans leur Ă©glise.

Nous devons respecter le Qur’an Ă  ce niveau, mĂȘme montrer davantage de respect. C’est pourquoi  Al Ghudjawani hazratleri construisit un tel bĂątiment. Il dĂ©pensa 7000 piĂšces d’or, il fit tout parfaitement, et fit un bĂątiment comme un palais. Il y mit seulement le Qur’an e Karim. Il Ă©tait Ă©crit Ă  la main, parfait. Restant debout, ne s’asseyant pas, exaltant Janab al Haqq, comme s’il entrait dans la prĂ©sence du Sultan, avec de bonnes maniĂšres.

Notre Shaykh Sultan al Awliya hazratleri me dit: » Nazim effendi, quand Ghudjawani hazratleri entra comme ça la premiĂšre fois, une adresse vint: » Ne me lis pas sans avoir les grandes ablutions ! » Il Ă©tait dĂ©concertĂ©, parce qu’il avait ses grandes ablutions. Il Ă©tait venu sur la pointe des pieds, avec des vĂȘtements neufs et parfumĂ©.  » Si tu n’as pas tes ablutions ne me touche pas! »

Asta’Ä©dhu biLlāh: « lā yamassahu illā Al mutahharĆ«n » (56;79)

Mutahhar signifie quelqu’un qui est extrĂȘmement propre. Le sens plus profond est  » quelqu’un qui est propre intĂ©rieurement et extĂ©rieurement peut nous toucher, peut nous lire, peut lire le Qur’an. »

Les grandes ablutions signifie intérieurement et extérieurement.

Soudain l’adresse vint: « Dit la Shahadah ! » Prends la Shahadah qui va casser la rĂ©bellion de l’Ă©go. Renouvelle et montre ta foi en Notre prĂ©sence. Ashadu an La Ilaha illā Llah wa ashadu Anna Muhammadan ‘abduhu wa rasuluhu ï·ș.

AprĂšs l’avoir dit 3 fois, il n’y a plus de traces d’incroyance. Maintenant tu es entrĂ© dans le cercle de la croyance. « Repents toi ! » Nous ne sommes pas digne de cette prĂ©sence avec nos Ă©gos. Avec Istighfar 100 fois, sois en Notre PrĂ©sence. » C’est l’adresse. 100 fois astaghfirullah, astaghfirullah, astaghfirullah. Nous nous repentons de tous les pĂ©chĂ©s.

Grand et petit, erreurs, rĂ©bellion, oublis, nous nous repentons de tout cela O Seigneur ! Nous demandons Ton pardon.  Nos corps sont propres avec l’eau qui nous lave des pĂ©chĂ©s, avec la Shahadah qui nettoie notre secret, l’istighfar qui nettoie notre spiritualitĂ©, nous atteignons une parfaite purification extĂ©rieure Alors Il ordonna de lire.  » Maintenant Lis, mis Mes mots. » Plus vous respectez les paroles d’Allah, plus vous ĂȘtes respectĂ©s.

Lire le Qur’an e Karim est ainsi. Comment pouvons-nous dire la signification ? OĂč sommes-nous ? OĂč est le Qur’an pour dire sa signification ? Donc ne pas connaĂźtre ses limites commence ici. Plein de gens, de nos jours, mĂȘme s’ils ne connaissent pas la langue du Qur’an, ils dĂ©passent leurs limites, et parlent Ă  propos du Qur’an, et ils parlent Ă  propos du sens du Qur’an. Ils sont tellement ignorants, ils ne connaissent mĂȘme pas les lettres arabes. Les musulmans ont dĂ©passĂ© leurs limites, de cette maniĂšre. Le Qur’an est la parole d’Allah. C’est pourquoi nous craignons de dire le verset directement et d’en donner une signification. La maniĂšre de tous les Saints, est de donner un suhbat, donner un conseil. Ils gardent les bonnes maniĂšres avec Allah, Jala jalaluhu. Ils disent « ce que nous disons vient de ces significations, auxquelles ce verset fait rĂ©fĂ©rence. Il y a un signe dans ce verset, Ă  propos de ce que nous disons, et ils gardent leurs maniĂšres.

MashaAllah, nos savants lisent toujours le verset en premier, ensuite ils lisent le Hadith. C’est le sens du verset. C’est le sens du hadith. Mawlana Jalalu d-Din Rumi a dit, six volumes de Mathnawi SharÄ«f, puisse Allah sanctifie son secret. La semaine derniĂšre, il y avait Shab-i ‘Arus, ils nous ont mis un chapeau conique aussi. Ne l’avez-vous pas vu ?

Cette sainte personne, puisse Allah sanctifier son secret, il est un serviteur honorable d’Allah, un des  bien-aimĂ©s de la nation de notre  prophĂšte, ‘alaĂźhi as salatu wa s-salam, Mawlana est notre maĂźtre aussi. Oui. Il a fait six volumes du Mathnawi SharÄ«f. Regarde ça; le Mathnawi SharÄ«f; a-t-il lu un verset  et dis, voici la signification ? OĂč il parlait et ensuite faisait rĂ©fĂ©rence au verset? Nous sommes allĂ©s aussi loin que ça ! Ils ne connaissent pas leurs limites. Les gens ne savent pas ce qu’ils disent, il n’y a pas de personnes autorisĂ©es. Quand il n’a pas d’autorisation, comment connaĂźtra t-il ses limites ?

Maintenant les gens du plus haut niveau religieux les font faire le khutbah de cette maniĂšre. Ils vous laissent interprĂ©ter le sens, « nous interprĂ©tons la signification pour que les gens le comprennent. » Si les gens comprenaient un mot de ce que tu as lu, il y aurait beaucoup de savants. En lisant, en comprenant, beaucoup de savants en rĂ©sulterait. Ils n’en n’ont pas la moindre idĂ©e. Imam Al Ghazali, Muhyi d-Din ibn ‘Arabi, Shah-i Naqshband, Imam Rabbani, tous ces grands Saints ont dit: » cela fait rĂ©fĂ©rence Ă  cela, des ocĂ©ans de signification, de lĂ  nous prenons. Ces mots viennent de cet ocĂ©an. » Donc c’est pourquoi les gens Ă©duquĂ©s ont augmentĂ©s mais les Ă©rudits ont diminuĂ©s.  C’est un signe de la fin des temps, dit le ProphĂšte ï·ș.  » Yaqillu al ‘ulamā’ wa yakthiru al khutaba » les Ă©rudits diminuent et les prĂȘcheurs augmentent. Il y a tant de gens pour lire les khutbah. Ils disent « j’interprĂšte ce verset, c’est le verset et sa signification, c’est le Hadith et sa signification. »Â  Ô gens comprenez, habituez-y vous. Asik  ‘Aly.

Et quand les gens instruits, ne connaissent pas les bonnes maniĂšres de la tariqah, ils Ă©chouent Ă  respecter le Qor’an. Ils Ă©chouent Ă  respecter. Ils Ă©chouent Ă  respecter le ProphĂšte ï·ș et son hadith. Qui sommes-nous pour interprĂ©ter le Qor’an, interprĂ©ter le hadith ?

Essayer de prendre de l’ocĂ©an du Qor’an de la part de ceux qui donnent. Le ProphĂšte ï·ș Ă©tait autorisĂ© Ă  donner, ‘alaĂźhi as salatu wa s-salam. Il a donnĂ© des significations du Qor’an pendant 23 annĂ©es. Il a pris et racontĂ©. Les gens ignorants d’aujourd’hui ont rĂ©duit le nombre de hadith du ProphĂšte ï·ș Ă  une poignĂ©e. Vous  pouvez les compter avec les doigts que vous utilisez pour le dhikr. Ils les ont rĂ©duits Ă  ça, Ă  cause de leur insouciance, les personnes non autorisĂ©es, qui ne connaissent pas leurs limites

Respecter et louer le Qor’an, c’est pourquoi je crains de lire un verset et dire quelque chose, parce que ce n’est pas notre limite. Nous pouvons seulement vous rapporter ce que les Saints donnent Ă  notre coeur. Écouter un peu et faire connaĂźtre les limites de chacun, c’est l’objectif.

Respectez le Qor’an, respectez le Hadith du ProphĂšte ï·ș. jusqu’Ă  ce que vous compreniez le Qor’an, jusqu’Ă  ce que vous compreniez le Saint Hadith, mettez-vous au service pour que vous atteigniez le soutien. A qui se met au service de Allah et de Son Messager, des gouttes des ocĂ©ans des significations sont donnĂ©es; Ă  ceux qui servent leur voie. Quiconque boit de ces gouttes, trouve la Vrai Vie, fait parti des immortels. Quiconque dĂ©sire l’immortalitĂ©, la vie Ă©ternelle  devrait boire du Qor’an, du Hadith. Ce sont les fontaines de la vie Ă©ternelle.

« Abadi hayat, Haqiqi hayat » la vie Ă©ternelle est la vrai vie. Janab Haq dit : » bois! Bois! J’ai rendu cela licite pour toi! Mais nous ne savons pas comment. Nous ne pouvons pas boire. Quand nous ne pouvons pas boire,  morts, nous sommes morts en ce monde. Au jour du jugement, ils vont en  PrĂ©sence de Allah, sans avoir pris cette vie vrai. Pourris, dans un Ă©tat de dĂ©composition. Ils restent pourris dans le monde et dans l’au-delĂ . Mais le Qor’an est venu pour rĂ©veiller les gens, pour vivifier les gens.

Il y a Yunus Emre aussi, il a beaucoup de poĂšmes. A t-il jamais donnĂ© le sens des versets? A t-il donnĂ© le sens du hadith ? Ils coulent comme une riviĂšre des versets et du hadith. Quiconque en boit, est vivifiĂ©. Il est important de faire les gens boire. Sans qu’il n’en manque aucun. Je voyage, pas dans un ou deux pays, je voyage Ă  travers le monde islamique, et dans le monde occidental aussi. Peut-ĂȘtre qu’il y en a qui sont cachĂ©s lĂ .

Non, il n’y a personne pour  vivifier ces gens. Il y a beaucoup de  gens Ă  grande bouche. Le nombre de khatib (prĂȘcheurs) va augmenter. Le nombre de ceux qui lisent le khutbah va augmenter mais il n’y aura pas d’Ă©rudits.

Il y en a tellement d’entre eux, mais il n’y a personne qui va  vivifier les gens en puisant dans les ocĂ©ans de la sagesse de la foi et de l’amour.

En faisant court et prĂ©cis, puisse Allah (Jalla jalalahu) nous rendre facile d’avoir de bonnes et belles maniĂšres (Adab) et de connaĂźtre nos limites. Puisse Allah faire que nous gardions les bonnes maniĂšres, pour le Qor’an et le hadith, sans directement parler du Qor’an ou du hadith. Le Qor’an a Ă©tĂ© interprĂ©tĂ© par notre ProphĂšte ï·ș en 23 ans. Il fut achevĂ©. 23 annĂ©es. Ce n’est pas un sujet facile. Le Qor’an-e Karim fut achevĂ© en 23 annĂ©es. Il fut achevĂ© extĂ©rieurement. Sa signification aussi Ă©tait complĂšte. Allah Jalla wa ‘ala plaça sa signification dans le coeur pur du ProphĂšte ï·ș. Il ouvrit les fontaines de vie Ă  tout les gens qui viendront jusqu’au jour du jugement. Disant: » venez et buvez,  baignez vous dedans, trouvez-y la vie. Puisse Allah nous placer au nombre des nations qui le respectent, ï·ș. Il y a beaucoup de gens corrompus qui ne gardent pas les bonnes maniĂšres avec le ProphĂšte ï·ș. Puisse Allah nous protĂ©ger de leur mĂ©fait.

Bi Hurmati Al Habib, bi Hurmati Al Fatiha đŸŒč

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