đŸŒčLe chemin du ParadisđŸŒč


đŸŒčBismillahi r-Rahmani r-Rahim

Sultan des Awliya

Sultan ul Awliya Mawlana Shaykh
Muhammad Nazim ‘Adil ibn al-Sayyid Ahmad ibn Hasan Yashil Bash al-Haqqani al-Qubrusi al-Salihi al-Hanafi (RA)đŸ€đŸ’«đŸ’«

Demandez le chemin sûr vers le Paradis !

Lefke, 1.5.2008

Allah Hu, Allah Hu, Allah Hu, Allah Hu, Allah Hu, Allah Hu


Allah, ya Daim, Allah ya Daim, Allah ya Daim, Allah ya Daim, Allah ya Daim, Allah ya Daim

Allah ya Subhan, Allah ya Subhan, Allah ya Subhan, Allah ya Subhan, Allah ya Subhan, Allah ya Subhan


Allah ya Sultan, Allah ya Sultan, Allah ya Sultan, Allah ya Sultan, Allah ya
Sultan

ÂĄAllahumma salli ‘ala Muhammadin wa ‘ala ali Muhammadin wa sallim

Tasliman kathira
 Huuu !

Meded, ya Sultanu-1 Awliya ! Meded, ya Rijalallah, ainuna bi aunullah

Alayhi salat wa salam il disait : « Ad-dinu nasihat « , ce qui signifie : Ad-din signifie conseil. Hadith des prophĂštes. Cette connaissance accordĂ©e par Allah Subhana Hu wa taala Ă  travers Son serviteur bien-aimĂ© et glorifiĂ© S.Muhammad, cette connaissance appartient aux Cieux, elle appartient aussi aux Cieux, en haut ! Par consĂ©quent, cela signifie que vous ne pouvez pas apporter une limite, non, non, c’est comme un ocĂ©an et vous ne pouvez pas atteindre sa plage ou vous ne pouvez pas atteindre son fond. Nous rĂ©pĂ©tons maintenant ce saint Hadith, comme le faisait mon grand-cheikh, qui s’asseyait toujours pour s’adresser aux gens : « Ad-dinu nasihat » et de cet ocĂ©an, Shah-u Nagshband disait : « Tariqatuna as sohbet ».

Shahu Naqshband – qu’Allah le bĂ©nisse. Ô peuple, on nous a ordonnĂ© d’apporter les noms des personnes saintes et de parler d’elles, parce que : « Inda-I dhikri sulahai tanzilu-I rahma » : Lorsque nous parlons d’un saint, les bĂ©nĂ©dictions et la misĂ©ricorde arrivent.

MisĂ©ricorde, bĂ©nĂ©dictions. C’est pourquoi, chaque fois que nous parlons et que nous Ă©coutons nos Grands Cheikhs, la plupart du temps ils parlent des Awliya, les bĂ©nĂ©dictions se rapprochent, se rapprochent. Les bĂ©nĂ©dictions sont des ocĂ©ans de misĂ©ricorde sans fin. Sans fin
et nous donne de la force Ă  travers nos organes et de la puissance Ă  venir dans nos cƓurs. Les bĂ©nĂ©dictions sont beaucoup plus puissantes, comme lorsque le printemps arrive, le temps apportant une nouvelle vie aux arbres. Par consĂ©quent, lorsque les bĂ©nĂ©dictions atteignent les cƓurs des gens, elles apportent aussi cette force secrĂšte qui les aide Ă  se rĂ©veiller. Subhanallah !

Maintenant, ils me font parler comme ils le souhaitent. Ils sont ma force dirigeante, ils me portent comme ceci, comme cela, comme ceci, comme cela
 Il s’agit maintenant d’un sens propre ; peut-ĂȘtre avons-nous rĂ©pĂ©tĂ© auparavant ou sommes-nous venus d’une nouvelle maniĂšre : Quel est l’intĂ©rĂȘt d’un conseil ? Lorsque vous posez cette question, vous la posez : « O Sheikh, la connaissance n’est pas quelque chose que nous pouvons toucher avec notre matĂ©rialitĂ©.
Les bĂ©nĂ©dictions, c’est autre chose. Un conseil, pour quel conseil ? » Nous disons : « Pour quels prophĂštes ? « Pour quels prophĂštes ? Pourquoi Allah tout-puissant nous a-t-il envoyĂ© des prophĂštes ? » Vous devez le savoir ! Allah Tout-Puissant fait comprendre Ă  certains serviteurs qu’ils ont reçu des pouvoirs cĂ©lestes pour comprendre et parler de cela et pour faire en sorte que les gens soient rĂ©ellement guidĂ©s. Pourquoi Allah Tout-Puissant a-t-il envoyĂ© Ses ProphĂštes ? C’est une question importante, car c’est alors que nous pourrons comprendre le sens du conseil, le sens de la religion.

Tout le monde sait, mais tout le monde ne croit pas. Certains savent et croient, d’autres apprennent, savent, mais ne croient pas. D’autres ne font que croire. Certaines personnes spĂ©cialisĂ©es savent et croient. Savoir et croire, c’est excellent, c’est le plus haut niveau.

Oui, les prophĂštes, pourquoi sont-ils venus ? Quelle Ă©tait leur mission ou quel Ă©tait le missionnaire de la prophĂ©tie ? Vous ĂȘtes anglais, ne me laissez pas entre les mains des Pakistanais


Nous avons appris et nous croyons – et nous croyons ce que nous avons appris -, nous y croyons aussi, que le premier homme, Adam, a Ă©tĂ© créé et placĂ© au Paradis. Ensuite, il s’est passĂ© ce qui s’est passĂ© et il a atterri sur terre. Les premiers descendants de S.Adam croyaient que leur pĂšre avait Ă©tĂ© envoyĂ© du Paradis pour ĂȘtre sur terre pendant un certain temps et ils savaient que leur pĂšre ou leur grand-pĂšre avait fait quelque chose de mal et qu’il avait atterri sur une terre qui n’avait aucune relation entre notre terre et le Paradis. Et ils savaient que leur grand-pĂšre Adam – que la paix soit sur lui et sur chaque Adam – pleurait toujours et demandait Ă  retourner au Paradis, Ă  ce Paradis que vous ne pouvez pas mesurer pour faire une description entre la terre, d’ĂȘtre sur la terre et d’ĂȘtre Ă  ce niveau. Il savait et ses fils et petits-fils, ses descendants, ne savent pas ce qu’il savait et Adam a.s. pleurait et demandait le pardon d’Allah Tout-Puissant. Et lorsque le pardon lui fut accordĂ©, il demanda : « Ă” mon Seigneur, j’aime ĂȘtre au premier niveau que Tu m’as accordĂ©. Je considĂšre Dunya comme une prison, donc, ĂŽ mon Seigneur, fais-moi parvenir Ă  ma premiĂšre patrie. Subhanallah, mon cƓur est toujours attirĂ© par ma premiĂšre maison, celle que Tu m’as accordĂ©e. J’aime ĂȘtre lĂ , ĂŽ mon Seigneur ! Mais ses fils n’Ă©taient pas de la gĂ©nĂ©ration du Paradis, ils Ă©taient de la gĂ©nĂ©ration de la terre, donc ils ne comprennent pas ce que leur grand-pĂšre dĂ©sire ardemment, ardemment, ardemment – ĂȘtre au Paradis.

Hors du Paradis, c’est comme l’enfer, ou du moins hors du Paradis, c’est une telle prison. MĂȘme la prison est une bonne chose, mais il y a des gens sur terre qui sont passĂ©s par des hĂŽpitaux, des maisons psychiatriques ou des prisons et qui aspirent Ă  en sortir. Et Adam dĂ©sirait ardemment revenir Ă  sa premiĂšre maison, sa patrie, et il pleurait. Puis Allah Tout-Puissant accepta sa Tauba, son repentir, et Il accepta : « Ă” Adam, je te ramĂšne dans ta patrie. Il ne dit pas « patrie », mais « Je t’appelle une fois de plus Ă  la maison » : « Je t’appelle une fois de plus Ă  ton Paradis pour que tu y restes jusqu’Ă  l’Ă©ternitĂ©. » L’Ă©ternitĂ© qui n’a pas de limite dans le temps. Vous comprenez cela, insha Allah. Et Il conseillait Ă  Adam :  » Ô Adam, Je t’envoie  » – parce qu’il demandait aussi ses descendants, il demandait aussi que ses descendants soient au Paradis, et Allah Tout-Puissant dit :  » Ô Adam, comme Je vais t’envoyer au Paradis, je vais t’envoyer au Paradis « . Ô Adam, comme Je vais t’accorder, en acceptant ta Tauba, ton repentir, Je te fais revenir au Paradis, Je te donne Mes divines bĂ©nĂ©dictions et Je t’ouvre le Paradis, J’envoie tes descendants jusqu’au Jour de la RĂ©surrection suivre certains de Mes serviteurs choisis pour les appeler au Paradis, le chemin du Paradis. Venez et passez par ce chemin, vous devriez vous retrouver finalement au Paradis, parce que vos grands-pĂšres vous attendent ! Oui. C’Ă©tait la promesse d’Allah tout-puissant Ă  S.Adam :  » J’enverrai quelques serviteurs choisis avec mes messages cĂ©lestes, car ils sont mes messagers, pour appeler ta descendance Ă  venir au Paradis.

Donc, ĂŽ nos auditeurs, Subhanallah, Allah appelle tout le monde Ă  venir et Ă  entrer au Paradis, mais la plupart de ses fils refusent, en disant : « Nous ne sommes pas dans le besoin, nous ne croyons pas en une vie Ă©ternelle, non. » C’est pourquoi Allah Tout-Puissant a envoyĂ© Ses serviteurs choisis, qu’ils appellent ProphĂštes, pour appeler les gens : « Ă” peuple, venez, venez, suivez-moi, je vous conduis au Paradis, afin que personne ne regarde et ne voie, que personne n’entende et n’apprenne quelque chose. C’est un don de ma part pour qu’ils croient que les croyances les ramĂšnent au Paradis. C’est pourquoi : Ad-dinu nasihat. Quelle est la signification de nasihat ? Ils m’obligent Ă  donner une explication plus large. Il ne s’agit pas de dire : « Je suis musulman » ou « Je suis protestant » ou « Je suis pape » ou « Je suis chrĂ©tien »

Il ne s’agit pas de dire : « Je suis musulman » ou « Je suis protestant » ou « Je suis pape » ou « Je suis chrĂ©tien » ou « Je suis juif » ou « Je suis musulman ». C’est pourquoi les prophĂštes sont venus et ont donnĂ© ce conseil : « Ă” peuple, prĂ©pare-toi Ă  revenir au Paradis, Ă  ĂȘtre avec ton grand-pĂšre, ta grand-mĂšre et des milliers de prophĂštes, Ă  ĂȘtre avec leurs disciples, les muqmins, et Ă  recevoir tes messages par millions de personnes, Ă  prendre soin d’elles et Ă  venir au Paradis.

Aujourd’hui, nous vivons Ă  une Ă©poque oĂč les gens se coupent du monde, se coupent du monde, et ne posent aucune question sur le Paradis. Et nos Ă©rudits, je suis dĂ©solĂ© de le dire, des Ă©rudits dont le nouveau titre est docteur, docteur Hussein, PhD. « Quel doctorat ? » « Vous ne comprenez pas ce genre de choses. » « Moi aussi, je dois comprendre. » « Si vous demandez Ă  comprendre quelque chose Ă  propos du doctorat, vous devez aller au moins vous devez passer au moins 20 ans pour ĂȘtre un mĂ©decin 
 au moins pour ĂȘtre un mĂ©decin. Vous avez la tĂȘte un peu dure
 il vous faut 25 ans pour ĂȘtre
 non pas docteur, docteur (le titre est) en place, (mais assistant). Peu importe, parce qu’au bout d’un moment, on en oublie vite la moitiĂ© et l’assistant, on ne peut pas le couper en morceaux, donc, hein, 30 ans, peu importe. Travaillez-y, nous vous donnerons un assistant
 un demi-assistant, ce n’est pas grave
 »

Comme les Pakistanais, ils sont tous Ÿ mĂ©decins
 Oui ?
 Nos Turcs, eh, Œ  ça n’a pas d’importance
 Les Arabes, ils disent : « Nous n’avons pas besoin de doctorat. Nous sommes nĂ©s de nos mĂšres et nous avons un doctorat
 » Si vous demandez des informations sur les Égyptiens, ils vous rĂ©pondront : « Qu’en est-il des Libanais – moitiĂ© maronites, moitiĂ© musulmans ?

Quelles sont vos connaissances ? Nous avons des connaissances depuis l’Ă©poque orthodoxe
 ».
Les gens essaient d’apprendre, mais pas de croire. Ils ne font que donner toute leur capacitĂ©, leur aptitude Ă  ĂȘtre docteur en philosophie, mais pas Ă  ĂȘtre croyant. Ils ont le titre de docteur, de professeur, mais si vous leur demandez : « Croyez-vous ? » « Non, je ne fais que savoir, je ne crois pas. »

Les prophĂštes demandent Ă  ce que les gens croient ! Les scientifiques et les Ă©rudits : « Nous ne demandons qu’Ă  savoir, pas Ă  croire ni Ă  pratiquer. Nous aimons ĂȘtre mĂ©decins ». Et nasihat, ce conseil des prophĂštes, qui incite les gens Ă  croire et Ă  utiliser leur capacitĂ© Ă  revenir dans la ligne de l’Ă©ternitĂ©, Ă  ĂȘtre shaug, ashk, Ă  dĂ©sirer, il y a un autre mot aussi
 Ă  apprĂ©cier
 oui ? C’est trop demander. Certains d’entre eux ne sont pas intĂ©ressants ; intĂ©ressants pour apprendre, mais pas pour pratiquer et atteindre la ligne d’Ă©ternitĂ©. Alors, un mot doux dans la langue des peuples occidentaux, c’est le mot que j’aime le plus : EternitĂ©. EternitĂ©, ebedi, sarmadi
 abadi, sarmadi, Ă©ternitĂ©, Ă©ternité  c’est ainsi que le rafraĂźchissement et la puissance me parviennent ! Mais les gens sont morts, les gens sont morts, ils ne demandent pas.

Si par l’intermĂ©diaire d’un Ăąne – ajallakum Allah -, par l’intermĂ©diaire d’un Ăąne apportant le bonbon de Beyrouth Ă  une table, mettre lĂ , et mettre ici de la paille devant un Ăąne, un Ăąne
 courant vers la paille

Les gens savent maintenant ce que nous disons
 c’est pourquoi j’essaie de mĂ©langer quelque chose. Lorsque les gens mangent avec une paille
 il reste du sorbet sur le plateau. Ce bonbon, les gens qui mangent du Baklawa, il reste du sirop.

Je fais de la paille avec ça et je laisse les gens manger
 Heureux, trùs heureux !
Si vous donnez du curry Ă  un bƓuf, ne regardez jamais. Eh, qu’est-ce qu’il fait alors ?
Il fait ce qui reste, met de la paille dessus et la donne au bƓuf, au bƓuf
 il ne sait pas, il mange
 pour l’honneur de la paille, les Ăąnes, les vaches et les bƓufs mangent


C’est la façon de faire de certaines personnes. Mais si vous donnez du mujarrat, seulement, seulement du curry, ils ne mangent jamais, votre Ăąne mange ? Ils ne mangent jamais ! Les Buriani ne mangent jamais, ils disent : « Nous n’aimons pas. » Ce n’est pas intĂ©ressant. Mais l’humanitĂ© est intĂ©ressante dans le Buriani, le Chapatti, le Tandoori et le Curry
 Salata et Turcu, Pickles, Chutney


« D’autres choses ? » « Eh, nous n’aimons pas ça

C’est pourquoi les gens (sont) Ă  travers 7o et plus branches, selon leurs dĂ©sirs, et les prophĂštes (sont) apportant pour chaque type de personnes ce qui peut les intĂ©resser que l’Ă©ternitĂ©, l’Ă©ternitĂ©, le plus haut niveau que les vraies personnes, quand ils ont Ă©tĂ© glorifiĂ©s par leurs Seigneurs, ils demandent l’Ă©ternitĂ©. L’Ă©ternitĂ© – un mot si frais, qui ouvre mon cƓur. Vie Ă©ternelle, Ă©ternité  Sermadi, Abadi, Sermadi, Sermadi, Ă©ternitĂ©.

Ya Rabbi, accorde-nous, ne nous laisse pas ĂȘtre comme des animaux ! Ils ne demandent que de la matiĂšre, des plantes et quelque chose qui pousse sur la terre. Nous savons que tu ne nous as pas créés pour que nous mangions de l’herbe, des feuilles ou tant d’autres choses que tu nous accordes sur terre. Mais nous ne demandons que l’Ă©ternitĂ©, la vie Ă©ternelle, d’ĂȘtre en Ta divine PrĂ©sence, ĂŽ notre Seigneur, fais que nous soyons croyants !

Pour l’honneur du trĂšs honorĂ© serviteur et glorifiĂ© par Ta divine PrĂ©sence, l’honneur de S.Muhammad, Fatiha.

C’est quelque chose qui n’est pas Ă©crit dans les livres des oulĂ©mas, mais qui convient aux gens qui vivent de nos jours. Et toutes les malĂ©dictions qui s’abattent sur les gens aujourd’hui, c’est parce qu’ils ont perdu l’envie de demander une vie Ă©ternelle au-delĂ  de cette vie. Telle est la raison : Ils croient (qu’il n’y a) que cette vie matĂ©rielle sur terre, rien d’autre derriĂšre cela et Allah Tout-Puissant demande de Lui demander l’Ă©ternitĂ©, l’Ă©ternitĂ©, la vie Ă©ternelle ! Fatiha


Nous ne sommes pas des fanatiques, je ne suis pas un fanatique. On peut trouver des musulmans fanatiques, des chrétiens fanatiques, des juifs fanatiques, des maronites fanatiques, des protestants fanatiques, des hindous ou des bouddhistes fanatiques.

« Je ne suis pas fanatique, je suis rĂ©aliste et je parle pour toute l’humanitĂ©, parce que je suis un membre de la grande famille de l’humanitĂ© et qu’on m’a accordĂ© quelque chose qui est diffĂ©rent des mentalitĂ©s de l’ensemble des personnes religieuses.

Les idĂ©es erronĂ©es des personnes religieuses sont sous mes pieds ! Allahu akbar ! »

Al FatihađŸŒč

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